Les icônes : un trésor commun
Une même contemplation du mystère du Salut
Les traditions
et
La Tradition
Quand l’iconographe est prêt à mettre sa main et son art au service de La Parole méditée ...
Alors, vient la «création» au sens biblique du mot.
L’inspirateur, c’est :Dieu Tout puissant d’Amour.
La Tradition vient des apôtres fondateurs de l’Église, elle est perpétuée et transmise par l’Église, sous des formes écrites et non écrites.
Respecter cette Tradition est une référence normative pour la Foi.
Par fidélité à la Tradition, le peintre d’icônes met son cœur profond et sa main, au service de la Foi.
Ecrire
une
icône
«Les dons de la grâce sont variés, mais c’est toujours le même Esprit… Les activités sont variées, mais c’est toujours le même Dieu qui agit en tous. Chacun reçoit le don de manifester l’Esprit en vue du bien de tous…»
Et, comme au récit de la création, le peintre d’icône donne un Nom à ce qu’il nous donne à contempler….
Un vernis servira à protéger l’icône.
Il prend une planche de bois…..
La planche peut être creuséele cœur de l’image sacrée servant alors d’écrin.
Il recouvre la planche d’une sorte de «peau»toile encollée minutieusement, recouverte de plusieurs couches d’enduit blancle levkas.
Puis il grave les parties à dorer et dessine les traits…. en reprenant les modèles existants….
Le peintre dépose l’or de la lumière de Dieu dans son icône
Puis vient la mise en couleurstoujours par «colorées» uniformes, commençant par le plus sombre et terminant par le plus clair.
Sont d’abord peints les vêtements, puis les visages…
Reste le fonddoré ou de couleur transparente;
Les auréoles sont enfin entourées d’un filet.
Puis vient la mise en couleurstoujours par «colorées» uniformes, commençant par le plus sombre et terminant par le plus clair.
Sont d’abord peints les vêtements, puis les visages…
Reste le fonddoré ou de couleur transparente;
Les auréoles sont enfin entourées d’un filet.
Le peintre d’icônes ne signe pas...
...tant il a conscience que son œuvre n’est pas la sienne….